Le père Goriot, Honoré de Balzac

Balzac, auteur très célèbre a écrit Le père Goriot en 1835. Comme ses contemporains George Sand et les frères Goncourt, il fait parti du courant réaliste. En effet, ce courant consiste à raconter une histoire inspiré de la réalité historique le plus réaliste possible.

Honoré de Balzac dans son roman a une facon de décrire personnages et lieux. C'est cette particularité qui a rendu la description de la pension Vauquer très célèbre ainsi que lui même en tant qu'auteur.

Comment Balzac parvient-ils à préparer le portrait des personnages du roman en décrivant d'emblé la pension Vauquer ?

Cette question sera résolue par le biais de l'étude des caractéristiques de la description, puis le portrait de Mme Vauquer et enfin la notion de point de vue narratif dans l'extrait dans un extrait du roman.

Commencons donc par les caractéristiques de la description. Pour les étudier, nous montrerons d'abord que la description se fait par l'intermédiaire des sensations, puis qu'elle est de plus en plus négative.

La desciption se fait par l'intermédiaire de l'odorat. Tout d'abord, lorsque le narrateur entre dans la pension il dit que "cette pièce exhale une odeur sans nom dans la langue.". En effet, l'odeur ne peut pas être qualifié par un mot du dictionnaire de la lague francaise pour le narrateur tellement l'odeur est répugante. Puis il arrive à trouver une expression qui pourrait définir la mauvaise odeur. Il la nomme "odeur de pension" (l.1).
Pour continuer, il utilise les champs lexicaux du goût et de l'odorat mais touours de manière très négative : "odeur", "sent", "goût", "pue", "mauséabondes" et "atmosphère catarrhales" (l.1 à 5). On a l'impression que le narrateur lui même "dégouté" cherche à nous le faire devenir.

Par la suite, on observe que la description devient de plus en plus négative. En effet, dans la deuxième pièce la situation semble