Depuis de nombreuses années, le Québec démocratique est une société exemplaire de valeurs distinctes et d’intérêts communs, ce qui fait de cette province un endroit idéal pour immigrer. Ces valeurs importantes sont reflétées par des lois constitutionnelles. Alors que ces valeurs sont partagées, elles imposent pour les nouveaux arrivants des contradictions sur le plan de l’intégration à notre société. Le refus d’intégration d’un certain type d’immigrant en particulier à la société québécoise est la cause des accommodements raisonnables que le Québec doit appliquer. J’affirme être en désaccord avec le fait que certains immigrants appliquant les dogmes de leur religion demandent et obtiennent des accommodements raisonnables. Mon point de vu s’explique par leur application quotidienne des dogmes de leur religion causant un refus d’intégration, d’une conscience religieuse à leur égard et d’un manque d’ouverture.

Les motifs des accommodements raisonnables aux Québec ont différents titres certains peuvent relever de l’ordre administratif, de la modalité juridique et d’autres sont d’origine religieuse. Selon moi tous les accommodements raisonnables sont demandés par des personnes appliquant les dogmes extrémistes de leur religion donc, une loi devrait régir leurs droits, car ceux-ci semble n’avoir aucunes limites en ce qui concerne ces demande d’accommodements raisonnables répétitives. Les exemples sont clairs et la plupart du temps sont en rapport avec la religion musulmane. Les médias se font un plaisir de publiciser les demandes émanant de ces groupes: la tolérance du niquab, le hijab au soccer, la piscine à Montréal réservée aux femmes à la demande des musulmans, sans oublier l’application de la charia en droit patrimonial. Ces diverses demandes faites par les musulmans démontrent un refus important d’intégration à notre société. Il est clair que lorsqu’il y a possibilité d’appliquer un changement afin de les accommoder pour ce qui concerne leur religion, la