le radeau de la méduse
Ce tableau à été peint dans les années 1818/1819 par le peintre Théodore GERICAULT naît en 1771 à Rouen et mort en 1824 à Paris qui a été donné comme nom « le radeau de la méduse ». Ce nom vient du navire « la méduse » ou se trouvés les deux survivants le géographe Corréard et le chirurgien Saligny où il décida de les mettre en œuvre sur son tableau (représenter à la droite du mât). Théodore Géricault s'est fait connaître grâce à cette œuvre. Il représenta un fait divers qui intéressa beaucoup Géricault pour ses aspects humains et politiques, le peintre se documenta précisément puis réalisa de nombreuses esquisses avant de camper sa composition definitive qui illustre l'espoir d'un sauvetage. construisit le radeau dans son atelier grâce a l'aide du charpentier qui à survécu mais aussi il c'est retrouver dans un hôpital proche de son atelier pour pouvoir redessiner des cadavres pendant que la chair se décompose.
L'œuvre à été réalisé sur toile en huile, il mesure 4,91m de hauteur et 7,16m de largueur exposé au musée du Louvre à Paris.
Géricault voulait se surpasser. Il voulait peindre un très grand tableau au sujet dramatique et moderne pour l’époque, et qui déploierait une énergie aussi puissante que celle montrée par les grands maîtres.
Le tableau est considéré d'une œuvre d'inspiration romantique, traitant de la vie et de la mort, de l'espoir et du désespoir, et de composition classique, les corps étant disposés de façon sculpturale.
Le radeau occupe le premier plan. Les survivants formes une pyramide humaine. A la base, se trouvent les cadavres, au milieu des personnages assis, fatigués, découragés,et au sommet, à droite, un groupe de survivants qui, dans un dernier élan, soutiennent un homme agitant un tissu. Le choix d'un homme noir portant les derniers espoirs a choqué à l'époque.
On distingue plusieurs compositions pyramidales. Tout d'abord la pyramide générale qui englobe l'ensemble du groupe, puis une autre, à gauche,