Livre VII, Fable 3 : Le rat qui s’est retiré du monde I Le plaisir de conter : 1)Un lecteur transporté dans un espace de fantaisie. L’espace est imaginaireextrêmement vague, mais il fait rêvé, les Levantinsl’Orient, suscite l’imagination. Le rêvesuscité par le mot « légende » l’imaginaireunivers de conte mis en relief par l’enjambement au début du vers 2. Un mélange d’Orient et d’Occident, « Hollande », cependant, cette allusion attire l’attention par le changement du maitre du vers (v.3v.8 alexandrin pour l’autre) RatopolisVille inventée par La Fontaine, à sonorité Grecque, à la fin encore, référence à l’Orient avec les Dervis, des religieux Musulmans. La Fontaine désoriente le lecteur, le divertis et le met dans un état, un contexte. 2)Un jeu sur l’animalité et l’humain. Le rat a un comportement humain, « se retira », mais un rappel à l’animal avec « le fromage »  »pieds » et « dents »joue sur les deux registresambigüité « députés » :ils vivent dans une « république », l’ennemile « peuple chat » « peuple » fait référence aux humains. 3)L’art du récit. Récit rapide. Evocation du cadre v.6-7 : 2 phrases v.1à41ère phrase v.6à72ème phrase qui montre la rapidité du Rat, l’installation. Rapidité rendue par l’enjambement, le rejet. Jusqu’au v.12situation principale. Où le narrateur rapporte les propos du peuple Rat au discours indirecte libre réponds le discours directe du Rat lui-même (v.2429) ce qui fait ressortir la différence entre l’ermite et le peuple Rat. Dans ce récit, La Fontaine établit une complicité avec le lecteur en intervenant. Question rhétorique. Pour la morale, le fabuliste s’adresse au lecteur(v.33) Dialogue avec le lecteurséduction du lecteur. II) Une satire du Clergé. 1)Un Tartuffe Un faux contemplatif, voca religieux associé à des termes qui véhiculent l’ironie. « ermitage »demeure de l’ermite. « ermite » « nouveau »étrange sorte de saint 2)Le