le realisme
Chaque année, nous célébrons l’anniversaire de notre indépendance. Tôt le matin, les hommes et femmes envahissent la place du défilé. Une voiture est dressée près du grand baobab. A neuf heures, l’animation débute avec l’orchestre de la police. Les civils et les militaires accompagnés de la fanfare des forces armées défilent fièrement devant le gouverneur. Quel beau spectacle. La joie se lit sur les visages des spectateurs. A la fin du défilé, le gouverneur, très satisfait, félicite les organisateurs.
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DICTEE : La Fête de notre Indépendance.
Chaque année, nous célébrons l’anniversaire de notre indépendance. Tôt le matin, les hommes et femmes envahissent la place du défilé. Une voiture est dressée près du grand baobab. A neuf heures, l’animation débute avec l’orchestre de la police. Les civils et les militaires accompagnés de la fanfare des forces armées défilent fièrement devant le gouverneur. Quel beau spectacle. La joie se lit sur les visages des spectateurs. A la fin du défilé, le gouverneur, très satisfait, félicite les organisateurs.
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DICTEE : La Fête de notre Indépendance.
Chaque année, nous célébrons l’anniversaire de notre indépendance. Tôt le matin, les hommes et femmes envahissent la place du défilé. Une voiture est dressée près du grand baobab. A neuf heures, l’animation débute avec l’orchestre de la police. Les civils et les militaires accompagnés de la fanfare des forces armées défilent fièrement devant le gouverneur. Quel beau spectacle. La joie se lit sur les visages des spectateurs. A la fin du défilé, le gouverneur, très satisfait, félicite les organisateurs.