Le rire chez flaubert
Pour bien des écrivains la correspondance est perçue comme une activité qui parasite l'oeuvre, dans la mesure ou elle prend le temps accordé à la création littéraire, l'épistolier serait donc l'ennemi de l'écrivain. La communication ordinaire de la correspondance est vécut comme une profanation de l'acte sacré de l'écriture.
La correspondance est donc une sorte de souillure. Ce sera le cas par exemple pour Mallarmé, Flaubert va d'ailleurs qualifier sa correspondance de "gribouillage imbécile", Il faut dire qu'à cette époque il est hanté par l'idée de s'économiser pour la littérature.
Création littéraire suppose une vie retirée. La correspondance va présenter l'écriture comme un sacerdoce. Nous avons constamment l'éloge du monde littéraire, en oppositon avec cette tradition romantique avec l'éloge de la paresse. La correspondance est aussi favorable à une vie en retrait, solitaire, l'activité littéraire apparaît comme une activité douleureuse. Il va détailler toutes les étapes de la création, et elles nous apparessent comme un véritable supplice : lectures préliminaires,rédaction comme sorte de sacrifice constant; la création littéraire apparaît comme véritablement sacralisée.
L'écriture est ressentie comme une expression du sentiment de jouissance de l'écriture, il vit ses émotions à travers l'écriture. L'écriture est vue comme une religion, Flaubert se présente comme un martyre, l'écriture apparait comme une sorte de pélérinage.
Le mal de vivre est un des sentiments représentatifs de l'époque.La notion de mélancolie est issue des théories de L'Antiquité. Théories de qutres humeurs, cette théorie se referraiy à l'équilibre interne et un rapoport au cosmos. Les quatres humeurs qui correspondent à qutres éléments. Nous avons une interaction de la psychologie et du physique. En littérature le génie est caractérisé par la mélancolie. Balzac disait que "le génie est mélancoliqe car il voit la vie des deux côtés bon et mauvais". Il existe