Le rire est donc perçu de deux façons, le sens et l'intellect, ces deux façons ont leurs conséquences que sont un humour communautaire et un humour universel. Dans «rire la suite » Jean Fourastié énonce qu'il existe un humour culturel, qui nécessite la maitrise de codes, cette maitrise fait aussi la différence à l'intérieur d'un groupe humain, étant donné que tout le monde n'a pas la même capacité de compréhension. Cette maitrise intellectuel que l'on retrouve dans le sketch de Coluche «Qui perd perd » se traduit sous forme de références à connaître, le sens des jeux de mots la référence donc à Rimbaud, « Pince moi » Absurde, mais aussi dans le quiproquo entre Monsieur Jourdain d'une part et Madame Jourdain et Nicole d'autre parts dans la pièce de théâtre « Le Bourgeois Gentilhomme », une mise en scène qui déteint de la comédie française du XVIIème siècle et qui nécessite par ailleurs la maîtrise de la langue et des codes du théâtres français par exemple au moment de la moue de Monsieur Jourdain ou encore au moment de la prose de Monsieur Jourdain. Dans le « festival de San Romeo les Clown du cirque du Soleil » les clowns que l'on peut voir en scène ont un accoutrement, des mimiques et des pitreries qui doivent faire rire, les clowns sont d'autant plus l'archétype même du comique universel dans le sens ou, ils ne font appel qu'aux sens. Il est très bien su que les clowns font rire tout le il est important de le dire, le rire universel repose en principe sur le visuel, comme l'exagération de certaines situations les mimiques le ridicule d'une action, ou encore l'ouïe, qui entre en jeu pour provoquer le rire avec certains bruits bien spécifique qui susciterai le rire de tout être humain. On peut souvent dire que dans l'humour universel chaque tranche d’âge a son humour, chez les jeunes enfants de trois à dix ans, les blagues sont souvent cruelles. Chez l'adolescent, le rire peut avoir une fonction de rébellion, ainsi la sexualité, les sujets tabous font rire et