Dans ce regroupement de quatre documents, nous avons le premier étant une publicité pour un produit du Bêbête Show, le second, une définition de Polichinelle tirée du Dictionnaire d’Émile Littré, le troisième, un extrait d’ « Éclats de rire : variations sur le corps comique » de Olivier Mongin, et pour terminer, un extrait de « Quand dire c’est faire … rire » de Nelly Feuerhahn. Ici nous cherchons à comprendre quels différents moyens sont employés pour faire rire et si ces derniers ont du succès.
Le premier et le second document se rejoignent sur un point : les marionnettes. Dans le premier document, nous avons la marionnette de Kermitterand qui est un croisement entre Kermit la grenouille et une caricature de Mitterrand. Cette dernière voulant se faire modestement appeler DIEU. Celle-ci nous fait rire par la phrase prononcée mais aussi par le jeu de mots du titre de l’émission « le Bêbête Show », spectacle présenté par des bêtes…bêtes. Ensuite, Polichinelle, marionnette, personnage farceur, danse bouffonne, expression pour désigner un personnage ridicule est donc utilisé pour faire rire ou pour tourner en dérision à chaque utilisation du mot. Tout comme le secret de Polichinelle qui lui aussi fait rire car c’est un secret connu de tout le monde et donc par conséquent n’est plus un secret. Pour la suite, ce sont les deux derniers documents qui se rejoignent sur un point, les situa-tions qui font rire. Dans le troisième document, Raymond Devos cherche à faire rire en mettant en place des situations cocasses mais simples avec des expressions comme celle de « À tort ou à rai-son » où il utilise à répétions des mots ayant des sens contraires plusieurs fois dans même phrase. Cela nous donne presque du mal à le suivre mais nous fait rire car cet emploi se fait avec finesse et intelligence tout au final en ayant un sens. Alors que dans le quatrième et dernier document, nous avons un cas classique, ou le monologuiste présente des situations banales, arrivées à la