De nos jours les blogs touchent tous les citoyens et non pas des citoyens choisis ou des spécialistes, il permet donc de mettre les utilisateurs au même niveau, c’est la communication horizontale ; Cette forme de communication a pour finalité de favoriser les échanges entre les différents internautes dans la perspective de partager les connaissances, ce qui favorise aussi le lien social. L’expression de la vie citoyenne implique la liberté d’expression, un droit fondamental pour la démocratie. C’est pour cela qu’il serait intéressant de s’interroger sur le rôle d’internet dans la démocratie et ces limites. Pour cela nous étudierons 4 textes : « les révolutions arabes sont-elle des révolutions 2.0. (2011) » de Remy Ourdan , « Surveiller et punir » de Michel Foucault, « La révolution ne sera plus télévisée. Internet, information et démocratie, extrait de la revue pouvoir n°119 » de Thierry Vedel et « de citoyens à internaute, des libertés oubliées » de C.M.
1) Le rôle d’internet dans la démocratie
Dans son article, les révolutions arabes sont-elle des révolutions 2.0. (2011), Remy Ourdan explique que grâce au réseau social Facebook, un jeune homme a pu créer une page au nom d’un militant torturé et battu à mort, dénonçant ainsi les abus de pouvoir et de la police Egyptienne. Cette page a ensuite été la source de la mobilisation des militants égyptiens contre le pouvoir en place (mobilisation du 25 janvier). Ainsi le réseau social aurait permis de déclencher une révolution pour l’instauration de la démocratie.
De nos jours les blogs touchent tous les citoyens et non pas des citoyens choisis ou des spécialistes, il permet donc de mettre les utilisateurs au même niveau, c’est la communication horizontale ; Cette forme de communication a pour finalité de favoriser les échanges entre les différents internautes dans la perspective de partager les connaissances, ce qui favorise aussi le lien social. L’expression de la vie citoyenne implique la liberté d’expression, un