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Le roman et ses personnages l'incipit question de corpus

747 mots 3 pages
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Ce corpus qui nous est proposé comporte quatre textes, tous extrait du début d 'un roman.Le texte A "Germinal" d'Emile Zola dest écrit en 1885. La condition humaine : (texte B ) publié par André Mairaux, le texte C d'Albert Camus intitulé l'Etrangé et l'oeuvre de Jean Marie Gustave, Le Clézion : (texte D) "Désert" datent tous XXe siècle. Il s’agira ici d'étudier dans un premier temps le statut du narrateur puis dans un deuxième temps d'analyser le point de vue du narrateur. Le premier et le second texte possèdent tous deux un narrateur externe et un point de vue interne. Effectivement, Germinal et la condition humaine sont écrites à la troisième personne "il fut repris de honte","lui" ; "il se répétait". Il est détaché de l’histoire qu’il raconte et ne participe pas aux événements qu’il narre. Il n’intervient pas dans le déroulement des faits et le récit semble avancer tout seul. Le point de vue est interne dans ces deux textes car le narrateur raconte tout ce qu’il voit "sous la nuit san étoiles" ; "un tas de mousseline blanche", tout ce qu’il sait et tout ce que pense un personnage ; "un petit paquet noué dans un mouchoir à carreaux le gênait beaucoup " ; "il connaissait sa propre fermeté , mais n'était capable en cet instant que d'y songer" . Les narrateurs sont dans la tête des personnages, on perçoit les sensations et émotions dont sont épris les personnages : le froid "grelottant", la souffrance "douloureux" ; la peur " l'angoisse lui torait l'estomac","naussée" "fasciné". On distingue également leurs pensées et leurs questionnements "une seule idée occupait sa tête vide d'ouvrier" "comprit " " à quoi bon ? "; "il se répétait que cet homme devait mourir" "Tchen sentait" , "Frapperait - il au travers ?" ,"découvert ?

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    Comme des larmes d'or qui de mon cœur s'égouttent, Feuilles de mes bonheurs, vous tombez toutes, toutes. Vous tombez au jardin de rêve où je m'en vais, Où je vais, les cheveux au vent des jours mauvais. Vous tombez de l'intime arbre blanc, abattues Ça et là, n'importe où, dans l'allée aux statues.….

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