Le romantisme
Le romantisme est une révolution, il nait d’ailleurs après 1789. Il veut casser les limites fixées par le protocole littéraire (notamment en poésie)
I) La naissance du mouvement
Dès le XVIIIe siècle on peut voir un retour à la sensibilité et à la nature dans la littérature. On remarque une certaine tendance chez les écrivains allemands : Goethe, et anglais : Bayron.
Dès 1820 naît officiellement le mouvement, il s’exprimera jusqu’aux années 1940. Le romantisme, de roman, à attrait à la fiction.
En France cette naissance du mouvement se concrétise autour de deux personnes célèbres : Victor Hugo et Charles Nodier. Ce dernier créer le « cénacle de Charles Nodier » ; un salon littéraire.
II) Liberté comme mot d’ordre
Les romantiques se définissent par leur volonté de libération. En effet ils veulent se libérer du classicisme qui s’impose la symétrie et l’ordre. Ils désirent se permettre une spontanéité et une liberté totale chez le créateur. Ils veulent aborder un premier thème : le « moi ». Ils souhaitent également se libérer des règles strictes de l’écriture (les vers par ex) et se permettre d’aborder tous les genres littéraires. De plus les romantiques cherchent à aborder le beau comme le laid qui est conçues comme complémentaires. L’œuvre par excellence est de Victor Hugo ; « l’œuvre qui allie le sublime et le grotesque », cette œuvre est l’homme qui rit.
III) De la révolution à la consécration
Le romantisme représente un véritable bouleversement littéraire. Mais cela ne s’est cependant pas fait sans heurts car les classicistes s’y sont farouchement opposés. Exemple : la bataille d’Hernani de VH, le non de cette œuvre représentera la bataille des deux mouvements. Le romantisme triomphera finalement après la ridiculisation des classicistes
IV) La mission des romantiques
L’écrivain romantique est investi d’une mission sacrée, d’ordre divin. Comme le dit Victor Hugo « le poète est un prophète » et