Le rouge et le noir de stendhal: ecriture d'invention
Dans ce bois, une colline surplombe tout les plus grands arbres. J'ai gravi la colline péniblement car elle est raide et car le chemin est parsemé d'embûches et de trous. En voyant que je peine à monter, j'ai pensé que les étapes que je dois passer sont comme l'ascension de cette colline ce qui m'a donné la force de continuer. J'ai pris la direction d'un sentier à peine marqué quand tout à coup, je me suis aperçu que je me trouve sur un grand rocher qui offre une vue incroyable sur le village de Verrières et ses alentours. Debout sur ce rocher, j'ai eu une sensation de grandeur car j'ai imaginé que ce rocher est mon trône et qu'il représente la place qui m'est déstinée. En contemplant l'horizon, le vent m'a carressé la tête comme si j'ai atteint les cieux. Petit à petit, le vent s'est intensifié et les nuages ont fait leur apparition,