Le rouge et le noir texte 1
Julien Sorel n’a pas encore été présenté. On sait seulement qu’il s’agit d’u fils de charpentier, qu’il a le projet d’entrer au séminaire et il étudie donc le latin. Son père possède une scierie. C’est un homme fort, Lorsqu’il arrive à la scierie pour annoncer a son fils que le maire de Verrières (ville fictive), monsieur de Rênal désire l’engager comme précepteur pour ses enfants, il constate que Julien n’est pas en train de travailler, mais de lire. Stendhal présente alors son personnage en situation. Il donne des informations sur le personnage sans casser le fil de l’action.
Axe 1 : Le récit des évènements 1. La brutalité du père
Julien est confronté à un monde hostile et est en but à la violence de son père. Julien est très concentré sur son livre et n’entend pas son père. Dès le début on s’aperçoit que Julien n’est pas attentif au monde dans lequel il vit, il s’invente un monde dans la lecture pour fuir et échapper à la dure réalité de sa vie * Totale opposition entre le père (physique : agité, souple, agile, en mouvement force brutale) et le fils ( délicat, immobile, intellectuel) CONTRASTE TOTAL * Les paroles du père confirment sa brutalité : méprise la lecture ne sait pas lire = activité inutile, perte de temps, non rentable. jaloux de son fils qui réussi ses études, traité de paresseux. Le père est matérialiste. * Julien est battu et obéit : il reprend son « poste officiel ». Julien porte un regard ironique sur le fait de regarder une scie qui coupe des planches. Stendhal se moque de la brutalité du père et de cette activité sans intérêt. Il se moque de la vision matérialiste du père. * Réciprocité entre le mépris du père pour les activités intellectuelles du fils et le mépris du fils pour les activités manuelles du père.
La douleur du coup ne le fait pas pleurer, c’est la perte de « son livre qu’il adorait » qui l’attriste 2. La résignation du fils
Le père est vulgaire te