Présentation de l’auteur et de l’œuvre :

Stendhal, petite ville en Allemagne, d’où le pseudonyme de l’écrivain français « Henri Beyle », (Grenoble 1783, Paris 1842). Après avoir vêtu l’uniforme rouge de la révolution, Henri Beyle se lance alors dans une carrière littéraire, il écrit dans un premier temps des récits de voyage, des écrits sur l’art et la littérature mais c’est qu’avec Le rouge et le noir (1830) ainsi que La Chartreuse de Parme (1839) que Beyle connait un une consécration non immédiate mais posthume
Contexte de création :
Le Rouge et le Noir, sous-titré Chronique du XIXe siècle, est la deuxième œuvre romanesque (après Armance) écrite par Henri Beyle. Ce roman est principalement tisser à partir d’un fait divers parut dans la Gazette des tribunaux, ainsi le procès d’Antoine Berthet fut un fait déclenchant et matière première pour la création de l’œuvre. Berthet et Sorel se superposent au file de l’évolution de l’intrigue et l’un comme l’autre va connaitre une fin tragique (comme Berthet, Sorel est un jeune homme chétif, intelligent et ambitieux né dans une famille modeste d’une petite ville où il étouffait).

Résumé de l’œuvre :
L’histoire se déroule à Verrières « jolie ville au bord du Doubs », où on n’y manque pas de remarquer outre le paysage magnifique, l’atmosphère auster où ennui, mesquinerie, haine et rivalités seront mis à l’honneur.
Julien Sorel sera l’hypocentre de l’intrigue, jeune de dix nefs ans, d’une rare intelligence, ambitieux, fière et réservé, fils de scieur il étouffe dans Verrières. Passionné par Napoléon Julien est né trop tard pour vêtir l’uniforme rouge de l’armé révolutionnaire, ainsi il va plutôt opter pour une carrière ecclésiastique sous les conseils de l’Abbé Chélan qui le prend sous son ail, grâce à cet abbé Julien devient précepteur des enfants de M.de Rênal maire de Verrières. Talentueux Julien inspire le respect dans toute la maison de Rênal mieux encore dans tout Verrières ce qui ne va pas être étranger à Mme