Conclusion

Lors de ce passage, Mathilde passe du mépris à de l'admiration pour Julien. En effet à partir de la ligne 10, elle ressent une nouvelle sensation et elle est heureuse. Dés ce moment là, Mathilde dit que cela la transporte dans les plus belles années du siècle de Charles IX et Henri III. De plus, elle disait au début du passage »le premier venu » en parlant de Julien, à partir de la, elle dit l'amant. Mathilde est bien retomber dans l'admiration pour Julien. Cette admiration est la conséquence de quoi en réalité ? L'action héroïque de Julien qui lui fit repenser à un autre temps, elle a donc une admiration pour le passé. On remarque ainsi les traits d'une héroine romantique :

elle a des sentiments exacerbés elle admire le passé elle est orgueilleuse elle est méprisante vis à vis des autres, elle se sent unique, différente, enfin elle aime se lancer des défis.

On peut dire que Mathilde est une héroïne romantique. Elle partage de nombreux points communs avec Julien. Elle, qui est une héroïne romantique, est prise d'admiration à chaque action héroïque de Julien.

II. Lorsque que Julien accepte cette acte romanesque lorsqu'il s'empare de l'épée, Mathilde l'admire et le trouve magnifique (???°. Mais au contraire Julien se sent ridicule et il ne peut pas agir, il nous montre aussi cela dans les descriptions qu'il fait(il cherche la rouille) et il décide enfin de reposer l'épée mais d'une manière très lente(« tout se moment fort lent dure bien une minute »). Pour lui son acte n'a rien de romanesque. Il a donc une autre vision du héros romantique que cette de Mathilde. On remarque par la même occasion que Mathilde est prise d'amour pour lui seulement lorsqu'il n'est pas lui même ou qu'il se sent ridicule. Effectivement lorsqu'il essaie de se dévoiler elle le rejette et le méprise. Ils ont donc tous deux une fausse idée de l'amour qu'ils se portent et ils éprouvent donc un amour