Le récit fantastique
Lorsque Henry dans le chapitre 19, affirme que les livres sont dit immoraux car ils sont le reflet de notre propre honte, on pense aussitôt au tableau fantastique véritable reflet de la honte de Dorian. Grace au procédé fantastique, La honte de Dorian résultant de ses actions s’inscrit au fur et a mesure sur le tableau. Ainsi dès le chapitre 8, après le suicide de Sybil Dorian se rend compte du pouvoir fantastique du tableau et prend la décision de laisser le tableau portait sa propre honte.
« … jeunesse éternelle, passions sans fin, plaisirs subtils et secrets, joies insensés, péchées plus insensés encore, tout cela serait à lui. C’est le portrait qui porterait le fardeau de la honte voila tout ». Dorian n’aura plus à subir la morale de la société et pourra ainsi profité de tout les plaisirs immoraux sans être inquiéter parce que ce