Le sexe chez les belges
D- eh bien dans votre cas, deux possibilités s’offrent à vous, l’euthanasie passive dans sa forme des soins palliatifs ou la continuation de vos traitements mais sans déborder dans l’acharnement thérapeutique.
P-je suis navré mais je ne connais pas ces mots, pouvez vous me les expliquer plus en détails ?
D- certes…
F-attendez, je viens de passer et votre discutions sur le diagnostique vital de madame Jacqui ma interpeler puis-je moi aussi expliquer que-est ce que la loi autorise.
D- allez y .
P-oui, qu’y a-t-il madame ?
F-eh bien je suis spécialiste juridique particulièrement dans la médecine , j’ai en effet participé a la rédaction de la loi jean Léonetti.
P-Monsieur Jaqouylle était sur le point de définir les possibilités pour mettre fin à mes jours ainsi qu’a mes douleurs.
D-Les soins palliatifs consistent à stopper les douleurs quel quelle soient grâce à la prescription d’antalgique, l’arrêt de toutes pratiques a but thérapeutiques, par exemple, pour votre cas, si nous avons recourt a une intervention chirurgical, elle aura pour unique but que votre soulagement physique et morale. Le continuation de vos soins thérapeutiques n’aurait pas de sens, je suis navré.
P- Je ne peut plus résister, je suis fatigué , mon âme me quitte ,je veux en finir maintenant.
F- Votre souhait peut être réalisé , en effet , l’euthanasie active permet d’en finir rapidement .
P-Ah oui, … mais mais … en quoi est ce une pratique différente de l’euthanasie passive sous la forme des soins palliatif ?
D-Je voudrais juste ajouter que les soins palliatifs