Le Sida au sud Sahara

Il est évident que ce genre de thématique n’est pas toujours facile à aborder, car tellement délicate et complexe.
Cependant, je trouve malgré les efforts consentis par les différents gouvernements européens, que cette maladie qui est un véritable fléau n’est pas suffisamment débattue avec la population. Je n’ai pas pu rester indifférent face aux propos tenus, surtout que l’on pouvait percevoir qu’il y a un grand travail de terrain.
Je tiens tout particulièrement à rédiger cet article pour ceux qui nous ont fait partager leur travail, mais aussi pour tous ceux qui souffrent en silence et s’efforcent de changer les mentalités et la vision que nous pouvons avoir sur cette maladie. Dans le sud Sahara, 60% des femmes sont affectées par le virus du HIV ainsi que 2 millions d’enfants.
Si nous ne réagissons pas rapidement, dans 10 ans, 10 millions de personnes seront atteintes par le virus. Il est impératif que de nouvelles méthodes préventives à grande échelle soient mises en place, afin d’éviter la propagation du virus, mais aussi que les personnes déjà atteintes ne puissent se voir à nouveau affectées. Ne perdons pas de vue qu’une souche du virus entrant en contact avec une autre souche peut muter et en créer une nouvelle.
C’est aussi pour cette raison que le virus est si difficile à combattre, car il peut évoluer en permanence. Pour lutter au mieux contre la maladie, des laboratoires de grandes performances ont été implantés dans le pays.
Il est important que la recherche se fasse sur le lieu de l’épidémie.
Avoir un laboratoire sur le terrain permet d’avoir en permanence des échantillons de qualité, régulièrement renouvelés et non altérés.
Des échantillons de qualité donnent des résultats plus proches de la réalité du terrain.
Comme j’ai pu le noter plus haut, le virus est régulièrement en mutation.
Il est impératif d’avoir des échantillons récents pour suivre correctement l’évolution de la maladie et de