Le souverainisme québécois et la philosophie politique
Le souverainisme est une option politique acceptant la préservation de l’autonomie politique d’un pays ou d’une région, dans le but d’être reconnu comme un État indépendant. Au Canada, on entend souvent parler du souverainisme québécois. Ce concept veut que le Québec devienne un pays souverain sous-entendant qu’il quitte la fédération canadienne. Il y a eu deux referendums à ce sujet, qui ont été mit sur pied afin d’essayer de convaincre la population que devenir un État souverain serait pour le mieux. Par contre, les deux referendums sont loin d’avoir fonctionné et le Québec reste encore une province canadienne. Depuis que le concept de souveraineté québécoise ait commencé, un débat est apparut et progresse entre les gens du pays. D’un côté, il y a les gens qui sont pour la séparation du Québec. Ils croient que ce sera meilleur pour la culture, l’économie et la langue tandis que de l’autre côté, les gens sont complètement contre cette idée. Selon eux, le Québec pourrait plus profiter des ressources fédérales s’il reste en tant que province sur le territoire canadien. Puisque les mesures mises sur pied afin de finaliser ce conflit n’ont pas fonctionnées jusqu’à date, le débat continue.
Le mouvement souverainiste québécois s’est toujours fondé sur la nécessité de défendre la langue française et la culture québécoise, puisque la langue française est déjà très minoritaire sur le continent nord-américain. Ce que les gens pour la séparation du Québec veulent, c’est d’être un État souverain afin de pouvoir avoir un contrôle sur leur culture, la langue française, leurs lois, leurs impôts, leurs taxes et leur propre économie. Ils croient qu’un Québec souverainiste augmenterait les revenues de celui-ci. La perspective philosophique des souverainistes me rappelle un peu la vision d’Aristote. Aristote croit que “l’homme est un animal politique” et que c’est un État politique organisé et que gouvernent des lois justes ainsi que des