Synthèse : Le corpus est composé de 4 documents, le premier est un extrait de « La Libre Belgique » de Robert Redeker, le second est un article nommé « Sport : les ambiguïtés de la performance » d’ Isabelle Queval, le troisième est un dessin de Philippe Tastet paru sur le site philippetastet.com et le quatrième est un extrait de « Autoportrait de l’auteur n coureur de fond » de Haruki Murakami. Le sport peut avoir une utilité différente à travers chaque régime ou époque, nous allons confronter les différentes idées énoncées dans chaque document. Notre principale question est Le Sport a-t-il une limite ? En première partie nous allons voir Le sport est illimité et en second le sport à des limites.

Le Sport a toujours été un moyen de se surpassé physiquement comme médiatiquement. Dans le document 1, Robert Redeker dit « le sport ilustre , en flux continu, cette bataille de chaque instant » ce passage montre le point de vue de l’auteur qui estime que le sport est une bataille de tout moment . Selon lui le sport ne supporte pas la limite il faut que le sport franchit toujours une étape de plus au niveau quantitatif .Dans le document 2 Isabel Queval veut montrer que le sport n’atteindra jamais de limite avec les chiffres et un palmarès, il y aura toujours de l’espace pour inscrire un nouveau record. Certes un champion de haut niveau aura toujours envie de se surpasser qu’un amateur , c’est pourquoi pour lui sa performance sportif sera toujours remise en question . Dans le document 3 Le dessin illustré par Phillippe Tastet montre bien que l’homme cherchera toujours à revoir ses performances en impliquant la science et en faisant des athlètes génétiquement modifié ou en les dopant. Dans le document 4 Haruki Murakami énonce que malgré la longueur de la course et malgrés l’épuisement de son corp, il avait une force mentale qui lui permettez de continué et briser la limite physique.

Cependant le sport a quand même des limites , notamment notre corps humain a ses