Le stress
Le rythme cardiaque : c'est sans aucun doute la mesure la plus facile à effectuer ; lors d'un pic de stress, le rythme cardiaque passe très rapidement de 60/80 Bpm à 100/140 Bpm, selon l'intensité du stress et le sujet. Toutefois on ne peut pas considérer cette seule mesure comme fiable, car la vitesse dépend aussi de l'activité physique du sujet et le dispositif ne peut pas la prendre en compte. La pression artérielle : la pression est presque aussi facile à mesurer que le rythme cardiaque, c'est son principal avantage. Elle apporte un complément à la première mesure, permettant à celle-ci d'être plus fiable ; De plus il est possible (mais nous n'avons pas pu trouver de données suffisamment précises sur le sujet) que pression et rythme cardiaque évoluent différemment selon que l'individu stresse ou ait une activité physique. Si tel était le cas notre dispositif pourrait reconnaître la situation, cependant la fiabilité de la mesure ne serait pas totalement fiable et pourrait créer des aberrations.
La mesure du taux d'adrénaline : ce serait théoriquement la mesure idéale, en effets les autres effets sont principalement dus à la variation de ce taux. A l'heure actuelle on ne sait malheureusement pas mesurer ce taux d'une façon suffisamment confortable (c'est à dire sans avoir à s'introduire une aiguille dans le corps), nous devons donc abandonner cette mesure.
La mesure de la sudation : le stress fait significativement augmenter la sudation, même lorsqu'il ne fait pas chaud (on dénomme cela les " sueurs froides "). La sueur varie aussi de composition suivant sa cause, ainsi une mesure de l'intensité et de la composition de la sueur apporterait une très grande précision de mesures ; Néanmoins autant la mesure de la quantité de sueur serait aisée (par mesure de la conductivité électrique de la peau), autant une analyse de sa composition chimique est difficile. De plus les conditions de température et d’humidité, ainsi que