Le sublime
Le Sublime « Une foi ; c’est là pour l’homme le nécessaire. Malheur à qui ne croit rien ! » a dit Victor Hugo dans Les Misérables. Dans son roman Robert des noms propres, Amélie Nothomb dépeint des personnages qui ont une foi forte dans une grandeur au-delà de toutes les limites, et aussi des personnages qui ne croient rien comme dans la citation d’Hugo. En utilisant un style surréaliste et beaucoup de dialogues, Nothomb décrit un protagoniste, Lucette, qui désire le sublime et le pouvoir de produire ses idéaux romantiques. Par contre, Nothomb décrit aussi un personnage, Fabien dont la médiocrité est une juxtaposition complète du caractère de Lucette. Le manque de puissance et l’incapacité de Fabien sont quelques-uns des raisons de l’attitude fataliste de Lucette à la fin de l’exposition. De plus, Nothomb introduit Clémence, la grand-sœur de Lucette, qui est plus raisonnable que Lucette, mais qui est aussi affectueuse et amant. Lucette est fondamentalement une idéaliste et une romantique, croyant en sentiment contre la raison et cherchant le ravissement dans le rêve, le morbide, et le sublime. Nothomb décrit que Lucette veut que « chaque jour, chaque année, lui apporte le maximum » (8). C’est ironique, parce qu’en désirant un idéal, « le maximum, » Lucette en réalité vit dans un « conte de fées » brisé (7). De plus, Lucette imagine pour son bébé des « destins hirsutes » comme elle cherche un prénom « fantasmagorique », indiquant aussi que Lucette est une romantique (9). Quand Lucette essaie d’expliquer à la police la raison de tuer Fabien, « elle sentait bien qu’il manquait quelque chose à son argumentation et, pourtant, elle était sûre d’avoir raison » (19). Lucette sent qu’elle a raison même s’il n’avait pas raison pour les autres ; elle croit en sentiment contre la raison. En outre, Lucette adore que « son petit [soit] déjà exceptionnel » parce qu’il représente pour elle une force sublime, un force qui déclenche un étonnement inspiré par le