Le tabac
Fumer, c’est décidé, j’arrête ! Pourquoi donc ?
Terminée l’époque de la cigarette conviviale et mûrissante. Regardons la réalité en face, elle est un gouffre financier : à raison d’un paquet par jour, soit environ 2000 euros par an, c’est une voiture tous les 5 ans qui part en fumée… Et du côté de la santé, ce n’est guère mieux tant les pathologies liées au tabac abondent : cancers divers et variés, maladies cardiovasculaires… et sans oublier le tabagisme passif qui touche pourtant les « nôtres », innocents.
A chaque bouffée, c’est tout une panoplie de substances et de particules chimiques pas vraiment sympathiques, solides et nocives que nous inhalons. Pensions-nous vraiment que cela serait sans incidences sur notre santé ? Mais pendant ce temps, nous sommes là, à faire l’autruche, la tête cachée sous les parabènes qui sont pourtant, en comparaison, de véritables douceurs.
Pourquoi est-ce si compliqué ? Comment, alors, arrêter ?
Sachons déjà que, plus nous commençons jeune, plus il est difficile de s’en passer. Effectivement, lorsqu’il est en pleine croissance, le jeune voit son nombre de récepteurs nicotiniques croître en fonction de sa consommation de tabac. Dès lors, le sevrage sera plus ardu. Par ailleurs, la nicotine crée une double dépendance : l’une est physique, l’autre psychologique.
La première arme dans ce combat sera donc la volonté ; mais les statistiques jouent contre elle car seul 5% d’entre nous en sortiront victorieux… Rassurons-nous toutefois, plusieurs aides sont à notre disposition. Ainsi, pour nous appuyer dans le combat de la dépendance physique, nous pourrons compter sur les patchs et les chewing-gums qui atténueront cette sensation de manque. En complément, nous pourrons également compter sur l’inhalateur qui, en plus de pallier le manque de nicotine, émoussera notre dépendance gestuelle et donc psychologique ; à la façon de la cigarette électronique. Pour les moins dépendants, pourquoi ne pas se tourner vers