Non, puisque si le temps est considéré comme etant fini, il faudrait un temps dans lequel le temps lui même pourrait s'écouler... * temps : Milieu indéfini et homogène, analogue à l'espace, dans lequel se déroulent les événements. Temps objectif: Mouvement continu et irréversible (« flèche du temps ») par lequel le présent rejoint le passé. Temps subjectif: Sentiment intérieur de la temporalité, telle qu'elle est vécue par le sujet (synonyme : durée).

* limite : 1. Ce qui sépare deux portions d'espace ; par anal., ce qui borne une étendue, un temps, une fonction. 2. Extension extrême d'une étendue, d'une faculté, sans que pour autant on ait à concevoir quelque chose qui lui serve de borne ; en ce sens, KANT oppose limite à borne.

* homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage.

De nos jours, le temps est sujet à de nombreuses interrogations et on le considère en général comme étant une contrainte. En effet, les Hommes se plaignent souvent des blessures du temps, du temps qui va trop vite, du manque de temps... Certains d'entre eux regrettent même d'être nés tandis que d'autres appréhendent et fuient la mort. L'existence humaine semble effectivement difficile dans la mesure où elle prend place dans un temps limité entre la naissance et la mort. Le temps semble donc être pour tous un ennemi.
Cependant, est-ce réellement toujours le cas? A t'on raison de redouter ainsi le temps? Celui-ci ne serait- il pas dans certains cas libérateur pour l'Homme? Effectivement, ce dernier s'avère être quelques fois un allié dans la mesure où il nous aide à oublier les douleurs passées et ouvre l'avenir à nos espoirs.
C'est