Le theatre au 17e siecle
La scène était petite et éclairée par des chandeliers fixés au mur et par des lustres.
Il n'y a pas plus de réalisme dans les décors que pour les costumes. Les décors simultanés étaient utilisés au début du siècle, mais l'arrivé de la règle des trois 'unité (1674) celle de lieu amena l'unité de décor.
Si la troupe avait de l’argent, les décors et les costumes pouvaient être très beaux mais ils n’étaient pas réalistes ou historiques car il fallait faire rêver les gens. Ils s'agissait donc souvent de décors presque inexistants, mis en place selon les moyens à disposition, allant de quelques planches à un décor plus riche avec des tentures et quelques meubles. D'autres troupes étaient protégées par un bourgeois, suffisamment riche pour se permettre de financer le théâtre mais aussi loger et nourrir la troupe. Pourtant, dans ce cas on rencontrait encore des difficultés matérielles, comme le problème de l'éclairage, qui était la lumière des bougies.
Le théatre français a également subit l’influence italienne, notament au niveau des décors : Plus on avance dans le XVIIe siècle, plus les décors se font somptieux. Tout es prévus pour le plaisir des yeux et l’émérveillement : on fait glisser la lune, des astres ou des nuages sur des rails, on imite les vagues par un système de cylindre qui ondulent derrière une toile…C’est ce qu’on appelle du théâtre à machines. Cependant, ces décors manquent de réalisme et les indications scèniques sont rares
Au -17e on retrouve le theatre elisabethain :
Conçu en rond, ce lieu propose quatre aires de jeu : avant scène, scène, arrière-scène, balcon, surtout célèbre a Londres.
Et le théâtre « a la française » :
→ costumes
Les comédiens des grandes troupes théâtrales portaient des costumes somptueux, mélangeant les styles et les couleurs. Lors des représentations de tragédies grecques, on n'hésitait pas à ajouter un chapeau et des gants à un comédien habillé " à la romaine". Un des costumes célèbres de