Théâtre ! Aimez-vous le théâtre ? Je voudrais vous demander : est-ce que vous aimez le théâtre comme moi, je l’aime ? Plutôt avec tous les forces de votre âme, avec l’enthousiasme, avec tous extase, de qui apte à juste la jeunesse fougueux avide et passionné jusqu’à l’impression de Beauté. C’est mieux de dire – est-ce que vous pouvez n’aimer pas le théâtre plus que quelque chose dans le monde ? Est-ce que le théâtre est l’excitateur constant de vos sentiments apte à n’importe quelle temps, n’importe quelles circonstances les agiter, inspirer, comme l’ouragan soulève les tempêtes sablonneux dans le désert infini d’Arabie ? Le théâtre, c’est le temple, c’est le véritable temple d’art, en entrant dans le quelle vous vous écartez de la Terre, et vous oubliez l’existence de la vie quotidien. Ici tous votre être froid disparait, se dissout dans éther enflammé de l’amour. Si vous vous tourmentez de l’exploit dur de votre vie et de faiblesse de vos forces ici vous allez l’oublier. Si un jour votre âme a eu soif d’amour et d’enchantement ici, dans le théâtre, cette soif s’allume dans vous avec une nouvelle force indomptable. Si un jour l’image captivante scintille dans votre rêve, oublié aujourd’hui par vous, oublié comme la chimère, dans le théâtre cette image apparaitrai de nouveau et vous verrez ses yeux fixé sur vous avec la tristesse et l’amour. Aller ! Allez dans le théâtre ! Vivez et mourez dans le théâtre si vous pouvez