Le thé au harem d'archi ahmed et la haine
Premièrement, dans les deux œuvres on remarque la présence de beaucoup de violence dans les banlieues parisiennes. D’abord dans le roman Le thé au harem d’Archi Ahmed, il y’a beaucoup de violence surtout envers les femmes et les enfants. Comme dans le cas du père Levesque qui frappe sa femme toujours que c’est devenu banal, pour les voisins. « Ce spectacle-là, [Madjid] connait. Bien des fois, quand le père Levesque, non content de battre sa femme de ses poings, prenait soit son ceinturon, soit une chaise. » (Le thé au harem d’Archi Ahmed, P. 18) On peut constater que la violence du Père Levesque envers sa femme c’est quelque chose de régulier et que lui battre avec des coups de poings n’est pas suffisant. Quant au film La haine, on peut aussi remarque la présence de la violence mais c’est surtout des jeunes qui se battent eux-mêmes ou contre la police. Comme ce qu’on voit dans les émeutes au début du film au moment où les médias annonçaient « Une centaine de jeunes a assiégé le commissariat. Les affrontements ont fait 14 blessés du côté des forces de l’ordre, et 33 émeutiers ont été arrêtés. » La haine des jeunes envers la police est grande, et rien de ne peut les arrêter. Les forces de l’ordre ont de la difficulté à les contrôler et à maintenir le calme. Bref, on peut constater un taux de violence élevé dans les banlieues de