Le Tour du monde en quatre-vingt jours
999 mots
4 pages
Jules Verne (1828-1905), est un écrivain français dont une grande partie des œuvres est consacrée à des romans d'aventures et de science-fiction. Il est lié à l'éditeur par un contrat de vingt ans. Mais, Jules Verne travaillera en fait pendant quarante ans à ses voyages extraordinaires qui compteront 68 volumes et paraîtront pour une partie d'entre eux dans le Magasin d'éducation et de récréation destiné à la jeunesse. L’œuvre de Jules Verne est populaire dans le monde entier et en 2011 il est l'auteur de langue française le plus traduit dans le monde. Dans l’extrait à l’étude d’un de ces voyages extraordinaires tiré du livre Le Tour du monde en quatre-vingt jours, montrez l’opposition entre les bêtes et la locomotive, et les réactions diverses que suscite cet obstacle chez les voyageurs. Cette analyse littéraire traitera d’abord du fait que les bêtes et la locomotive sont présentées comme étant ennemies et, ainsi que, la puissance du train est inférieure à celle des ruminants. Ensuite, certaines personnes abord train vont décider d’attendre patiemment tandis que, Passepartout est furieux par le délai que cet obstacle cause.
Au début de cet extrait, Mr. Fogg, Mrs. Aouda et leurs compagnons se trouvent dans le train entrain de regarder le paysage lorsque tout-à- coup le train commence à ralentir sa vitesse et finit par s’arrêter à cause qu’un grand troupeau de bisons est entrain de traverser les voies du train. Lorsque cet incident arrive les bêtes et la locomotive sont opposées et ennemies. «Parfois, un grand troupeau de bisons, se massant au loin, apparaissait comme une digue mobile. » (L.8-9)
Ici, l’utilisation de la comparaison met en évidence le grand troupeau de bisons qui était comme un barrage fortifié empêchant le train de passer. L’auteur travaille dans cet extrait avec le champ lexical de la guerre et ceci est aussi visible dans la deuxième citation : « Ces innombrables armées de ruminants opposent souvent un