Le traitement de la douleur
COMM. NERVEUSE : Le traitement de la douleur au quotidien
Première question (10 points)
Saisir des données et les mettre en relation
Montrer en quoi l’utilisation des pompes antidouleur, pour administrer de la morphine, présente des effets plus bénéfiques que les injections intraveineuses.
La question suggère une étude comparative de deux traitements : celui présenté par le document du docteur Otto Ingold et le traitement « classique » par injection intraveineuse. Il semblerait logique de séparer dans la saisie d’informations injection intraveineuse et injection dans le liquide céphalorachidien.
Saisie d’informations (SI) doc1
L’opiothérapie orale permet d’obtenir une réduction de la douleur.
Lorsque l’opiacé est injecté dans le sang, la dose d’opiacé utilisée est forte (en bolus) et cela déclenche une tolérance à l’opiacé utilisé.
SI doc2
La dose de morphine administré est de 60mg et sa concentration dans le liquide céphalorachidien est de 400 mmol.L-1. En comparant avec l’autre traitement, il semble que l’on injecte beaucoup de morphine pour une concentration dans le système nerveux faible.
Déduction 1 (D)
Les sensations douloureuses sont inhibés et même supprimées par des opiacés.
Lorsque des opiacés sont injectés par voie intraveineuse, la dose utilisée et forte et comme il se met en place une tolérance, on doit augmenter les doses, ce qui a une action néfaste sur les fonctions motrices et sensorielles.
SI doc1
Les pompes antidouleur libèrent de façon continue et régulière des opiacés dans le liquide baignant le système nerveux central.
Cette libération régulière semble prévenir l’apparition de la douleur et ne semble pas favoriser l’apparition d’une tolérance à l’opiacé utilisé.
En 1976, une expérience utilisant cette technique a montré que l’on supprimait la douleur sans altérer les fonctions tactiles et motrices du patient.
SI doc2
On injecte dans le liquide céphalorachidien 1mg de morphine