Le travail est-il pour l'homme une aliénation ou une libération
Le 15/10/2010
« Le travail est-il pour l’homme une aliénation ou une libération ? »
Il nous fait lever tôt tous les matins ou nous fait coucher tard tous les soirs, il constitue une majeure partie de notre temps, il nous fait suer plus d’une demi vie, il nous permet de sortir et de s’instruire. On s’en plaint ou on s’en réjouit. Pour certains, c’est une routine, pour d’autres c’est la passion, qui les emmène sur les chemins de la découverte et de l’action. Il est différent pour tous. Il ? Le travail. Au risque de vous surprendre, nous ne savons pas qu’elle est sa véritable action sur nous, habitants de la « Terre Bleue »… L’activité professionnel de l’homme l’emprisonne-t-il ou au contraire, le délivre-t-elle ? Dans un premier temps, nous envisagerons en quoi le travail peut-il est une contrainte à l’homme et de quels façons ? Quels sont ces impacts sur l’homme ? Après quoi, nous tenterons de démontrer qu’il a aussi des biens faits soulagent et libérateurs sur l’homme. Ces différentes analyses nous permettrons de découvrir si, finalement, le travail n’aurait pas un caractère paradoxal.
Premièrement, le travail, même s’il est l’essence de l’homme, même s’il nous construit et nous cultive, peut s’avérer être parfois une aliénation. Dans notre société actuelle, il est divisé en plusieurs parties et réparti entre les travailleurs selon leurs formations. Chacun accomplit, quotidiennement, le même type de tâche, pour laquelle il a assimilé des compétences particulières. Seulement, cette division du travail morcelle l’homme, à tel point qu’il devient condamné à effectuer la même activité qu’il ne peut fuir.
De surcroît, ce système fait que l’individu est dépendant du fruit de labeur d’autrui et contraint de partager le sien. Un bon exemple serait l’incontestable aliénation et l’exploitation du travail ouvrier selon Marx. En effet, sous l’influence d’un patron, le travail devient extérieur à l’ouvrier, ce qu’il confectionne lui est