LE TRAVAIL NE FAIT PAS LE BONHEUR MAIS IL Y CONTRIBUE
Confucius a dit « Choisis un travail que tu aimes, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie».Seulement dans un monde où le chômage est assez largement perçu le travail peut être représenté comme une souffrance, en étant le seul moyen de subsister. Ou au contraire, apporter plus à l’individu en lui offrant épanouissent et satisfaction personnelle. Le travail contribue-t-il au bonheur ? Pour cela nous verrons que le travail est source de bonheur mais qu’il peut s’apparenter à la souffrance également.
Le bonheur se mesurerait à la capacité à conformer l'environnement à sa volonté et à réaliser les projets auxquels on tient. Selon ROCHEFORD « le siècle des Lumière fait du travail une capacité de réaliser l’individu »La réussite dans le travail permet une satisfaction de soi, une reconnaissance sociale dans un monde où le paraître, et le regard des autres sont indispensables. En effet, pour PECH les français exigent que le travail soit « un lieu d’épanouissement et de réalisation de soi ». Mais il faut être acteur de son bonheur comme l’illustre les journalistes SENK et NOTHIAS « ne vous demandez pas ce que votre entreprise peut faire pour vous rendre heureux, mais demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire vous pour votre propre bonheur ».Le bonheur peut également se caractériser par la transmission, le partage des connaissances ou l’apprentissage. D’après NOTHIAS et SENK « voir ses collaborateurs «grandir » et les aider dans un esprit de formation est un réel plaisir ».De plus le travail offre des opportunités de découverte de nouveaux peuples, de nouvelles cultures dans les métiers de commerce international ou des dans le domaine de l’import-export. Comme REGNAULT a dit « pouvoir découvrir d’autres peuples en travaillant dans le secteur de l’importation ou l’exportation » est source de bonheur.
Or, il y a une limite à ce bonheur, le travail peut se révéler être un véritable calvaire pour