« Le travail, c’est la vie et sans lui n’y a que peur et insécurité »
397 mots
2 pages
En 1969 à la BBC TELEVISION John Lennon, le grand fondateur des Beatles, fût interviewé en direct à la télévision devant des milliers de personnes sur les graves problèmes économiques dans les années 60-70 qui ont touchés de nombreux pays notamment l’Angleterre. Cette crise économique a été similaire à celle qui nous a touché en 2009 car toutes deux ont été des moments très dur au niveau du travail, beaucoup de gens se retrouvaient sans emplois, l’inflation a fait une très haute augmentation, diminution des salaires surtout celles des ouvriers qui déclencha dans les années 70 une très grande manifestation suite à ça John Lennon dit sa fameuse citation « Le travail, c’est la et, sans lui, il n’y a que peur et insécurité ». Nous pourrions nous demander si le travail assure la sécurité ? Que devient-on sans le travail ? et pourrions-nous vivre sans cette activité qui est au centre de nos occupations ?« Le travail, c’est la vie et sans lui n’y a que peur et insécurité »
Dans les années 60-70, le monde occidental et tout particulièrement le Royaume-Uni connait une période économique et sociale très difficile avec une inflation importante ainsi qu’un mouvement de désindustrialisation et donc de perte d’emplois. C’est dans ce contexte que John Lennon, fondateur du célèbre groupe les Beatles, intervient à la BBC en prononçant ces mots : « Le travail, c’est la vie et sans lui il n’y a que peur et insécurité ». Le travail qui est ici définie comme l’activité exercée au jour le jour permettant de gagner son train de vie serait alors le facteur du bonheur de l’homme ; ou du moins l’être vivant possédant un emploi vivrait en tranquillité, dans une certaine liberté et sans encombrement moral ou physique. Le travail est-il la condition nécessaire et obligatoire à une vie sans danger ? Que devient-on sans le travail ? Pourrions-nous vivre sans cette activité au centre de nos occupations ? + annonce du plan
Reflechir à ces questions :
Le travail est nécessaire mais est-il