Le travail, de son étymologie latine, ‘’tripalium ‘’, définissais un appareil composé de trois pieux utilisé afin de ferrer et soigner les animaux ou encore comme instrument de torture dans le but de punir les esclaves. La notion de travail, est bien la notion qui montre le mieux que la philosophie s’adapte a la société dans laquelle elle s’exerce. Dans la Grèce antique, le travail était jugé comme indigne de l’homme, c’est pour cela qu’il fut chargé aux esclaves de travailler a la place de ‘’de l’homme libre’’. Dans toutes les religions, il y a un sens du mot travail. Dans le christianisme par exemple, la bible définis le travail comme une punition divine, suite au péché originel, commis par Adam et Eve, goutèrent au fruit défendu. Ils furent alors chassés du paradis, le jardin d’Eden, et l’un reçus la punition de "gagner son pain à la sueur de son front", et la seconde de devoir "enfanter dans la douleur". Le travail est une activité spécifiquement humaine, consciente, réfléchis, et volontaire. C’est en Europe au 16ème siècle au cour de la renaissance que le travail sortit du mépris dans lequel il était auparavant et le protestantisme lui donna même une certaine noblesse en disant que cela était une occasion pour l’homme de sa racheter devant dieu. De nos jours, le travail désigne un effort physique ou intellectuel à effectuer dans le but de faire ou d’obtenir quelque chose de précis. Dans l’époque contemporaine, le travail est aussi associer a une activité rémunéré, il est synonyme de l’emploie. Hannah Arendt dans son texte tiré de ‘’la condition de l’homme moderne’’ constate que le progrès, enlèvera en quelque décennies a l’homme l’activité la plus ancienne et la plus naturelle pour l’homme qui est le travail. L’automatisation créée la destruction du travail et cette situation pourrais nous conduire à une catastrophe sociale. Pourquoi un tel constat ? C'est-à-dire qu’elles sont les raisons de cela ? Voila le problème que soulève Hannah Arendt ici. Dans son