Le tribunal de la raison pure la liberté
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L’existence est un sujet complexe. L’homme s’est toujours demandé d’où il venait, comment il fonctionnait, comment il pensait. L’être humain a toujours été fasciné par lui-même. Depuis l’Antiquité, plusieurs personnes se sont penchées sur le sujet, comme Socrate, Aristote et Platon. Ils se sont intéressés à l’homme et à son fonctionnement. Puis, quelques centaines d’années plus tard, le travail de ces philosophes a été redécouvert en Europe. Les gens se sont mis à penser et à produire des théories sur l’être humain. C’est le début du rationalisme moderne. Le père de cette nouvelle ère de la philosophie est Descartes, homme ayant vécu au XVIIe siècle. Il est reconnu, entres autres, pour son Discours de la méthode (1637) et pour ses Méditations métaphysiques(1641). C’est dans cette dernière œuvre que Descartes mentionne pour la première fois l’être humain comme étant une séparation de corps et d’âme. C’est ce qui nous amène à se poser la question suivante : l’homme pense-t-il avec son âme? Selon Descartes, c’est l’âme qui pense, mais selon Nietzsche, il n’y a pas existence de cette âme. Pour ma part, c’est cette âme qui permet à l’homme de penser.Tout d’abord, Descartes répond à cette question comme étant que l’homme pense avec son âme, en effet ce dernier a établit la théorie du dualisme cartésien .Le dualisme cartésien qui est constituées de quartes règles. La première règle est celle de l’évidence qui a consiste à évite que la précipitation et la prévention ne viennent pas interférer avec la raison. Elle n’accepte que les choses qui sont vraiment évidente, c’est-à-dire à moins qu’elle ne se présente à l’esprit avec de la clarté et avec distinction elle ne laisse planer aucun doute. La seconde relate de l’analyse, chacune des difficultés qui sont examinées la raison doit les diviser en questions élémentaires et les séparées afin de mieux parvenir à les résoudre pour arriver à la clarté et à la distinction demandé par la première règle. La troisième