Le vicomte pourfendu
André Durand présente
“Il viscomte dimezzato”
‘’Le vicomte pourfendu’’
(1952)
roman d’Italo CALVINO
(123 pages)
pour lequel on trouve un résumé
puis successivement l’examen de :
l’intérêt de l’action (page 3)
l’intérêt littéraire (page 4)
l’intérêt documentaire (page 4)
l’intérêt psychologique (page 4)
l’intérêt philosophique (page 5)
la destinée de l’œuvre (page 6)
Bonne lecture !
Résumé
Chapitre I
Son neveu raconte comment, parti, naïf, enthousiaste, impulsif, rejoindre l'armée de l’Empereur en guerre contre les Turcs, le vicomte génois Médard de Terralba traversa les plaines de Bohême jonchées de cadavres de pestiférés, puis fut introduit auprès de l’empereur qui le nomma aussitôt lieutenant.
Chapitre II
Au cours de la bataille, Médard, tua un Turc, mais fut désarçonné, vit son cheval mourir, se jeta témérairement dans la mêlée, et, inexpérimenté, se plaça face à un canon dont le boulet le frappa, faisant de la bouillie de sa moitié gauche, ne lui laissant que sa moitié droite, mais se trouva, grâce au travail des médecins, «vivant et pourfendu».
Chapitre III
À Terralba, où le vieux vicomte Aiulphe, qui avait renoncé au pouvoir en faveur de Médard pour ne s’intéresser qu’aux oiseaux, et vivre même dans leur volière, alors qu’on était en train de vendanger, on vit revenir un «demi-Médard», qui ne paya aux porteurs que la moitié de leur salaire, puis, sans saluer, ni son père, ni sa nourrice, Sébastienne, s’enferma dans ses appartements. Aiulphe, y ayant envoyé une pie-grièche, la retrouva morte, une aile brisée, une patte mutilée, un œil enlevé. Le vieil homme se laissa mourir.
Chapitre IV
Médard étant sorti dans la campagne, on constata qu’il avait fendu en deux des fruits, des champignons, jetant les