Le vieux qui lisait des romans d'amour
En second lieu, les œuvres littéraires dites écologiques ont aussi pour but de dénoncer le mal infligé à la nature. Dans Le vieux qui lisait des romans d’amour, l’auteur chilien n’y va pas de main morte lorsqu’il décrit l’état de l’ocelot, qui a succombé aux mains armées de l’homme : « Sa poitrine n’était plus qu’une immense plaie, et de débris de tripes et de poumons lui sortaient du dos.». Le personnage principal, le vieil Antonio José Bolivar est responsable de ce meurtre. Même si c’était de l’auto- défense, l’amant de la nature a horriblement honte d’avoir causé autant de souffrances.
En effet, il se sent «indigne» et «avili». Cependant, Luis Sepulveda démontre clairement que pour lui, l’homme blanc et sa «bête de métal» sont les véritables coupables. Ainsi, Sepulveda cherche à mettre la lumière sur les véritables malfaiteurs.
En conclusion, Le vieux qui lisait des romans d’amour est un roman fortement écologique, car il défend et glorifie la