Le guépard de philippe-dompdi
La mort du Prince
21 ans plus tard : grande ellipse temporelle qui oblige narrateur à signaler ce qui s’est passé tout ce temps : vieillissement des personnages (Angelica), accumulation de décès dans la famille, dans le bilan qu’il fait de sa vie : mort de « la petite Maria-Stella » (gangrène due au diabète, souffrances physiques), de son fils Paolo, de Pirrone, disparition de son fils préféré Giovanni (car celui qui lui ressemblait …afficher plus de contenu…
tas de cendres » # « paillettes d’or ») : 3 ans sur 73 : bilan assez négatif sur les joies de la vie, très désabusé, lucide aussi ; les bonheurs de sa vie à travers les énumération des chiens qui se sont succédé auprès de Tancredi, prolongation à travers lui de ses propres passions (mais il n’a pas été question de Bandico depuis longtemps…) + son attachement profond à Donnafugata où il avait « le sentiment de tradition et de pérennité » + ses succès scientifiques (notamment son observation de la comète d’Huxley) + son amour des femmes (rôle très important de « celle entrevue hier encore à la gare de …afficher plus de contenu…
Concision du titre ce cette 7ème partie qui se détache des autres tables analytiques, toujours très descriptives ; 1er épilogue du roman : fin du Guépard-Don Fabrizio ; mais événement qui reflète encore la déchéance du prince, qui meurt loin de sa ville, dans un quartier misérable ; lecteur était au bal dans 6ème partie, on se retrouve dans un lieu sordide ; 20 ans auparavant, regardait le tableau de Greuze, se demandant à quoi ressemblerait sa mort : mais en contraste total avec représentation picturale ; à cause d’une syncope, ne peut regagner sa villa, logé à l’hôtel Trinacria
1) Un lieu sordide pour mourir· laideur + puanteur (p.261) : loin des raffinements habituels ;
· cadavres de cafards, annonciateurs de sa propre fin : homme et animal ont un sort commun ;
· extrême-onction exigée par Concetta : devoir, pas conviction