Le horla et le horla
Il y a également la litote qui consiste à dire moins pour en laisser entendre davantage[footnoteRef:2] tel que dans l’extrait où le narrateur cite qu’il aimerait être maître de soi. Le protagoniste souhaite pouvoir être maître de son corps, ses choix et de ses agissements tel qu’être capable de se lever par lui-même et non rester angoissé et dominé par l’être fantastique. À cette époque, l’utilisation de procédés littéraires pour créer des émotions comme l’angoisse chez le lecteur était utilisé[footnoteRef:3]. Les écrivains de l’époque utilisaient également l’épouvante afin que le lecteur ressente un malaise[footnoteRef:4]. En effet, la peur est mise d’avant pour plonger le lecteur dans la même