Le K, un cas intéressant ?
Présentation : Le K, de Dino Buzzati est un livre composé de 50 nouvelles dont 13 qui ont été jouées en pièce de théâtre par Gregori Baquet et mises en scènes par Xavier Jaillard. Ma classe et moi avons été voir le spectacle le jeudi 29 novembre 2012, à la NEF, au relais culturel de Wissembourg, à 20h30.
Le décor, l’éclairage :
Sur la scène, il n’y a qu’un seul élément de décor, qui est un grand ‘ K ‘ en trois dimensions. Il représentera tantôt un lit ou un cercueil, une table ou une coque de bateau. Les types d’éclairage dans le spectacle varient selon les nouvelles. Dans « le Vent » c’est une douche (éclairage venant du dessus et qui suit l’acteur), qui a accompagné ce personnage tout le long de la nouvelle, jusqu'à la mort de sa compagne signalant que l’homme ne pouvait pas échapper à son destin.
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Quel est mon moment préféré et pourquoi ?
La façon dont l’acteur a montré qu’il avait jetée sa compagne dans la rivière est sûrement mon moment préféré. Il l’a fait avec beaucoup d’humour, d’un air hypocrite car il lui a suffit de juste un petit regard sur la scène, en bas du K qui était représenté comme un pont, pour nous faire comprendre qu’elle était tombée dans la rivière.
Quelle nouvelle, selon moi, Gregori Baquet a-t-il le mieux interprété et de quoi parle-t-elle ?
J’ai adoré la nouvelle « Le Vent ». C’est un homme et une femme qui se retrouvent en ville et commencent à parler en marchant, mais il y a beaucoup de vent. Le garçon a des soupçons sur une possible liaison de sa femme avec un autre homme. Le vent est devenu une tempête. Ils arrivent à un pont, ne s’entendent presque plus. L’homme perd son sang-froid et la jette dans la rivière.

Est-ce drôle ? Quels sont leur thème ? Quelles Impressions nous procure l’affiche ? Toutes les nouvelles sont pessimistes, et elles reprennent