Le loup et le chien - jean de la fontaine
Le travail du chien est minimisé par l’énumération de 3 verbes à l’infinitif : donner la chasse, flatter, complaire. Un chiasme (« Flatter ceux du logis, à son Maître complaire ») insiste sur la nécessaire flatterie dans travail. Ainsi, La Fontaine dévalorise le travail du chien. 3. Le point de vu de l’auteur ( la morale implicite )- Prise de position envers le loup. Nous connaissons les pensées du loup, pensées internes. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup.
- La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot.
- Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté.Conclusion …afficher plus de contenu…
L’environnement animalier habituel chez La Fontaine se marie avec la brièveté du récit et sa vivacité créée par une écriture rythmée et une place importante réservée au dialogue. L’enseignement du texte découle de l’opposition de vie, de condition, de caractère entre les deux animaux. Cette opposition aboutit à une morale implicite apportée par la parole du loup et par sa fuite, préférant ainsi la pauvreté à l’esclavage. (réponse à l’annonce de plan et reprise des conclusions partielles)La Fontaine sans intervenir directement dans le récit exprime son opinion grâce au portrait des deux personnages. Le chien est éloquent certes, mais il manque d’initiative et son travail est déshonorant. Le loup est pauvre, mais il farde sa dignité et affirme son intelligence par sa capacité d’adaptation. La Fontaine met évidemment en avant l’amour de la liberté, valeur supérieure, selon lui, au confort et à la richesse. (réponse à la