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Le malentendu, marx, matha

1196 mots 5 pages
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Le MalentenduMOUVEMENT 1 : Une révélation bouleversante.· Martha possède une véritable identité tout en jouant l’écho sonore dû au « m+r » de la mère.· « qu’importe maintenant le crim » la distanciation que la sœur ressent révèle un immense égoïsme : absurde· « Je nais/je vais » paronyme, renaissance = départ· « rejoindre la terre où je serai » futur à valeur de certitude illusoire : l’humain s’aveugle ds désir/rêve/refus d’assumer son sort · « heureuse » question philosophique fondamentale : comment …afficher plus de contenu…

est impliquée, la M déjà détachée de tt· « vécu » épanalepse : durée de vie évoquée …afficher plus de contenu…

: valeurs familiales corrompues/hors normes.· Indifférence marquée par didascalie montre que la mère n’est déjà plus concernée.· « moi, je » plus de nous (mère/fille) mais 2 êtres qui n’ont plus de véritable lien : ne se comprennent plus· V44 réflex° sur le fait de donner du sens quand il n’y en a pas : bonheur de M remplacé par amour pour fils· Polyptote sur racine de « certain » avoir des certitudes ds monde qui n’en offre aucune : monde absurde· « il est vrai » présent qui ressemble à vérité générale : très blessante, contrairemt à Jan, la M fait la ≠· La mère dit qu’elle ne veut pas blesser mais tient un discour blessant.· « Comment pourrais-je me passer de l’amour de mon fils

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  • Ingo maurer, zettel
    873 mots | 4 pages

    INGO MAURER Zettel’s 6 Né en 1932 dans l’ile de Reichenau en Allemagne sur le lac de Constance, le père d’Ingo Maurer était inventeur et pour survivre, pécheur. Ainsi, Ingo Maurer a vécu dans un environnement ou la nature était très présente, et il a passé une grande partie de son enfance à observer les eaux du lac, émerveillé par ce miroir mouvant.….

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  • Roberto zucco, koltès, commentaire
    806 mots | 4 pages

    Les faits lui prouvent qu’elle est sa mère, mais son cœur lui dit tout autre chose. Plus rien de vrai, de beau, ni de profond ne les unis. C’est le même physiquement mais ce n’est plus le même à l’intérieur. L’enveloppe est bien la même, mais c’est un monstre qu’elle renie et non pas son fils. Dans son témoignage, la Mère, bien qu’exprimant toujours un témoignage maternel fort pour son fils, va continuer à le rejeter et de le renier.….

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  • Analyse partielle au retour des oies blanches
    506 mots | 3 pages

    Cela est triste peut-être mais c’est ainsi. GENEVIÈVE : Je n’ai pas peur de ce qui est triste mais j’ai tellement souhaité que la vie soit autre chose. (p.22)OU ENCORE :On peut dire que le personnage de la mère est très lucide, elle qui avoue tenir «plus longtemps à ses habitudes qu’[elle] ne tient à l’amour»….

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  • Résumé de la femme qui fuit
    958 mots | 4 pages

    Donc, c’est une question qui peut être dure à répondre si on veut tenir compte des deux côtés de la médaille donc de l’enfant abandonné et du parent qui quitte. Dans le roman, l’auteure ne pardonne pas l’abandon de sa grand-mère, comme elle l’écrit dans cet extrait : « Je te fixe sans te répondre. Tu as fait du mal à ma mère et je ne t’aime pas. » Alors elle ne pardonne pas l’abandon, mais y cherche plus une justification et essaie de comprendre la femme….

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  • Le horla, guy de maupassant
    493 mots | 2 pages

    1. Sous quelle forme le récit se présente-t-il ? Le récit se présente sous la forme d'un journal intime (date indiquée à chaque début de paragraphe, déroulement chronologique, expression à la première personne...). 2. Dans quelle région se passe l'action ?….

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  • Therese desqueyroux, françois mauriac
    34912 mots | 140 pages

    Francois Mauriac - Therese Desqueyroux Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! O Créateur ! peut-il exister des monstres aux yeux de celui-là seul qui sait pourquoi ils existent, comment ils se sont faits, et comment ils auraient pu ne pas se faire.... __ Charles BAUDELAIRE Thérèse, beaucoup diront que tu n'existes pas. Mais je sais que tu existes, moi qui, depuis des années t'épie et souvent t'arrête au passage, te démasque.….

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  • Question d'interprétation : médée a-t-elle perdu toute humanité ?
    1051 mots | 5 pages

    Question d’interprétation littéraire : En quoi Médée a-t-elle ici perdu toute humanité ? Le texte étudié dans le cadre du chapitre « l’homme entre animal et humanité » est un extrait d’une pièce qui s’intitule « Le Dilemme de Médée ». Cette pièce met en scène la magicienne Médée qui est follement amoureuse de Jason, avec qui elle eût deux enfants.….

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  • Juste la fin du monde, jean genet
    1079 mots | 5 pages

    I UN APRES MIDI MELANCOLIQUE : La mère évoque un après-midi de dimanche et insiste sur le caractère coutumier du fait « toujours été ainsi » Comme à la fin de la scène 8, la mère insiste sur le temps et la durée comme le montre le champ lexical du temps( à citer)= la Mère est assimilée à Sturne le dieu du temps qui symbolise la mélancolieLe pronom impersonnel « on » et le parallélisme de la construction « on n' arien à faire, on étend ses jambes » montrent l'état de langueur dans lequel plongent les personnagesCatherine , qui est….

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  • Jean-luc lagarce scène 1 acte 1
    998 mots | 4 pages

    La phrase complète de la mère de « ne me dit pas ça » à « il ne se connaissait pas » v11 et hachez non construite. Les paroles viennent comme elles arrivent. Par petit à pour exprimer ce qui est pour elle impossible. Vérité surgit pourtant, mais à la forme interrogative « Louis, tu ne connais pas Karine » C'est comme c'est la mère espérait que l'idée serait….

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  • Juste la fin du monde , extrait de la scène i, extrait 2
    2082 mots | 9 pages

    emploi de « on » dans la subordonnée circonstancielle hypothétique, dans lequel elle s’inclut) ; - pour intégrer finalement ce jugement à son propre discours reprenant les mots exacts de son frère : « je n’y suis pas mal » ; on voit bien qu’elle a fait sien un discours sur sa vie qui ne vient pas d’elle au départ ; - ce mouvement d’intériorisation est visible dans la répétition de la locution « en effet » dont chaque occurrence marque une étape supplémentaire dans l’acceptation de son sort ; - le rire de la ligne 9 peut ainsi s’entendre comme une sorte de rire nerveux ou….

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  • Koltès, iiie tableau de la mère, le meurtre de la mère,
    773 mots | 4 pages

    Est ce moi qui t'ai accouché? Est ce de moi que tu es sorti ? -> questions rhétoriques -> interrogent origine de la métamorphose du fils et le lien mère/ fils -> mettre en doute son statut maternel Je croirais qu ece n’est pas mon fils -> propositions subordonnée hyperbolique mais champ lexical de la naissance et du sensoriel vient confirmer le lien maternel -> vu sortir, suivit des yeux, mon regard sur toi, surveillé Changement -> voc de la métamorphose transformant le fils en monstre ne permet pas la mère d’en expliquer les raisons image du train qui déraille, accident de voiture, chute dans l'abîme -> déshumanisent le….

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  • Les images du père
    636 mots | 3 pages

    ( mais le premier paragraphe concrétise les idées du second ) Voici les idées : Le père n’est pas un “corps” : (il ne “touche” pas, il est “intouchable” il est “distant” ) Le père est une “voix” : il “parle” , il ”enseigne”, “il justifie” Le père est un “coeur” : il aime à sa façon.….

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  • Maupassant, la ficelle
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    Guy de Maupassant La ficelle Lecture et compréhension 1. Que signifie la phrase „tout était bon à ramasser qui peut servir. “ (31, 12-13)? Il faut ramasser , prendre toute chose que l’on trouve et qui peut être utile, et dont on peut avoir besoin un jour. 2.….

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    627 mots | 3 pages

    STEPHANE MALLARME – BRISE MARINE Poème de jeunesse, écrit en 1865. Un double désir exprimé dans ce poème : - nécessité d’un changement d’existence, un besoin d’évasion pour échapper au quotidien. - Une volonté passagère – de retourner à une poésie moins difficile. IDEE DIRECTRICE : « Fuir... » -- l’appel du large ; signification symbolique de cet ailleurs exotique.….

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  • Les confessions rousseau, livre iii
    709 mots | 3 pages

    A l’échelle individuelle, les intuitions du Discours sur l’inégalité Cf 2nd discours dans le livre de Culture GLe paradis perdu des origines (livre 1)· La mort de sa mère à sa naissance, en fait un portrait + peine de son père « sans pouvoir oublier que je la lui avais ôté » + fuite de son frère à 16 ans dissolution du cadre familial, élevé comme un orphelin, une enfance brisée· Ramené en enfance pr Rousseau c’est un retour au bonheur car il considère la vie comme une dégradation L’épisode du peigne, c’est la fin de l’innocence à Bossey· Il a été accusé alors qu’il n’avait pas touché au peigne qui a été brisé tout le monde s’en prend à lui alors qu’il est innocent, il fait l’épreuve de l’injusticeLa dégradation constante au cours des livres (2-4)Le grand aveu du livre II, il l’appelle le crime c’est lorsqu’il a injustement accusé Marion du vol du ruban alors que c’est lui qu’il l’a voléConviction qu’il montre à l’échelle du monde et de sa vie Les désirs : la pureté….

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