Lecture analytique de la scène 1 de l’acte I : 2ème pièce d’une trilogie comportant :Le Barbier de Séville, histoire du barbier Figaro qui va aider Lindor, alias le comte Almaviva, à approcher puis épouser Rosine, sous la coupe de son tuteur Bartholo qui souhaite l’épouser et la maintient hors de tout contact avec le monde pour pouvoir accomplir son projet, comédie créée en 1775Le dernier volet de la trilogie est La Mère coupable en 1792. Il s’agit d’un drame. Evolution de ton entre les trois pièces. …afficher plus de contenu…

· Dès le début de la scène, Figaro interprète mal les faveurs du comte à son égard. Il voit dans cette chambre un don permettant d’associer l’utile à l’agréable : il insiste d’abord sur l’agréable en évoquant le « beau lit », le don du comte « il nous la cède », pour en venir ensuite à l’utile par rapport à leur charge de domestique en employant le superlatif « la plus commode » pour insister sur l’emplacement de cette chambre, entre les deux appartements du comte et de la …afficher plus de contenu…

L’emploi de l’ironie pour évoquer Bazile et son rôle d’entremetteur témoigne de sa vivacité de langage et de sa lucidité