Le père goriot, balzac, commentaire
Le vieillard se tenait debout, immobile, inébranlable comme une étoile au milieu d’un nuage de lumière. Ses yeux verts, pleins de je ne sais quelle malice calme, semblaient éclairer le monde moral comme sa lampe illuminait ce cabinet mystérieux.Tel fut le spectacle étrange qui surprit le jeune homme au moment où il ouvrit les yeux, après avoir été bercé par des pensées de mort et de fantasques …afficher plus de contenu…
Et l'on remarque une fois encore la volonté de Balzac de se faire peintre dans sa description avec l'idée que son personnage donnerait l'impression qu'il serait celui du