Leasing en tunisie
Après SFR à Carpentras et Bouygues Telecom près de Lyon, les opposants sont de plus en plus écoutés par les riverains concernant les risques liés à la proximité des antennes relais (dont la distance minimum souhaitée est difficile à respecter en zone urbaine) et des ondes associées.
Après le Grenelle des ondes/antennes/fréquences en mai et les 10 recommandations de NKM, le trouble persiste donc concernant l’impact de la téléphonie sur la santé.
Dans une ordonnance de référé du 11 août 2009, le TGI tribunal de grande instance (TGI) de Créteil a interdit à l'opérateur de téléphonie mobile Orange d'installer une antenne relais sur le toit d'un immeuble du 13e arrondissement de Paris, au nom du principe de précaution, a révélé le 26 août la radio France-Info.
Orange avait prévu l'installation d'une antenne à moins de 15 mètres de la chambre à coucher d'un habitant. Saisi par les copropriétaires de l'immeuble, le tribunal de Créteil précise que même si les études ne sont pas concordantes sur la certitude du danger causé par les ondes émises par les antennes, il ressort qu'il existe au moins un risque découlant de la propagation des ondes envoyées par ces antennes pour la santé des personnes se trouvant à proximité.
Pour la première fois à Paris, la justice a décidé d'interdire une antenne-relais, avant même qu'elle ne soit installée. Et contrairement à d'autres interdictions précédentes, il n'y avait pas d'école à proximité.
Orange qui s'est déclaré ''surpris'' par l'interdiction, a annoncé le 26 août à l'AFP son intention de faire appel. On met en avant le principe de précaution alors même que les antennes relais ont été jugées non dangereuses par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et le ministère de la Santé, a déclaré Jean-Bernard Orsoni, un porte-parole d'Orange.
Les associations satisfaites
De leur côté, les