Lecture Analytique 1: Incipit de La peste (pages 11-12)

-(l.1) indice de lieu et de temps
-"Oran"(l.2) --> ville française qui tient à cœur à Camus
-"194."(l.2) --> paradoxe --> créer un trouble, on est à une époque sans y être --> date absurde
-"curieux événement"(l.1) --> euphémisme tragique car les événements sont horribles (milliers de morts)
-"chronique"(l.2) --> terme journalistique --> volonté d'objectivité absolue de la part du narrateur --> narrateur interne qui reste en dehors des événements --> œuvre journalistique, historique
-ce premier chapitre à été écrit après les événements
-"un peu de l'ordinaire"(l.4) --> euphémisme rajoutant du tragique --> humour noir
-"ordinaire"x2 --> anaphore dans deux phrases consécutives
-ville présenter de manière administrative
-"rien de plus"(l.5) --> présentation négative
-"Oran est"(l.4) --> présent de vérité générale -"d'aspect tranquille"(l.8) --> euphémisme tragique
-"laide" --> description négative
-description péjorative et subjective de la ville
-"on"(l.7) --> pronom impersonnel --> enallage --> remplace "je"
-une ville banale décrite de façon négative
-effet de généralisation entre le particulier et le général --> ce qui ce passe à Oran pourrait se passer partout ailleurs
-l.10-13 --> négation --> omniprésence de la mort --> ville prédisposé à la mort -réalité/fiction -question rhétorique --> comme si la ville était trop "nul" pour être décrite -lieu neutre
-(l.14) --> l'auteur utilisé le temps pour décrire le lieu
-"ne que"(l.14) --> négation restrictive
-l'unique intérêt d'Oran est l'argent
-ironie du narrateur par rapport aux habitudes de la ville
-tout est marqué par la négation
-"trop sèches"(l.18) --> subjectivité
-"on"(l.19) --> les habitants
-dégradation dans le vocabulaire, chaud puis froid

-l. 23-25 --> rythme ternaire --> pronom indéfini qui remplace les concitoyens, tous le monde fait la même chose -gradation "travailler, aimer, mourir" --> aimer