Lecture analytique n° 1 : La princesse de Clèves- Mme de La Fayette (1678)- p50-51

Investigations périphériques :

 17ème siècle, classique
 Le théâtre, tragédie
 Texte moralisateur (fable, …)
 Texte publié de façon anonyme
 Roman historique/analyse psychologique
 Résumé

En trois nous en tant que M une œuvre en 10 ans que
Investigations étude linéaire :

 Première partie : ligne 1 à 3, arrivée à la cour
 Hyperbole
 « il parut » « donna »  passé simple
 « alors » adverbe
• 
• Choc / apparition soudaine, renforce l’admiration et la soudaineté
 Terme vague sur la description/anonyme (« beauté » = incarnation)
 Intensif « si » : qui renforce l’hyperbole
 Ligne 3 : « où…personne » proposition subordonnée relative
 Champ lexical de la vue
 Monde où règnent les apparences et la superficialité
 Deuxième partie : ligne 4 à 22, analipse- origine/éducation mère
 Imparfait
 Superlatif « haut degré »
 Accent mis sur la noble extraction
 Hyperbole/éloge de la mère
 Valeur morale  énumération
 Elle n’a pas eu de modèle masculin
 Suscite la convoitise, la galanterie
 Education physique et intellectuelle
 Antithèse « opinion opposée »
 Elle lui donne une vision négative des hommes (vision pessimiste)
 Education influencée par le Jansénisme

 Troisième partie : lignes 23 à 31, retour à la cour
 Haute origine
 Personnage convoité
 Mère extrêmement glorieuse
 Héroïne jeune (16 ans)
 Mise en valeur par le passé simple
 Archétype de la beauté de l’époque

Problématiques :

 Qu’est-ce que ce portrait nous apprend de l’héroïne de ce roman ?
 Comment apparaît l’héroïne dans ce roman ?
 2 axes :
 Le portrait élogieux du personnage
 Une éducation exemplaire

 Quelles sont les fonctions de ce portrait ?
 Une fonction esthétique
 Une fonction argumentative
 Une fonction dramatique

 Comment ce portrait mène t’il grandeur et fragilité ?
 Une portrait idéalisé
 Une héroïne