LECTURE CURSIVE : Une anthologie personnelle

La poésie : une interaction de mots imagés.

De mes yeux, de mes oreilles, de ma vue ou de mon ouïe, la poésie m’est toujours aussi agréable. Pour nombreux d’entre vous, Oh ! Cher lecteur, la poésie est un simple fantasme d’un poète, Oh combien isolé et seul, cherchant vainement l’amour avec de simples mots beaux comme nos chères dames. Je vous dirais que vous n’avez ni raison, ni tort. La simple richesse des vers m’est si douce et instructive que mon nantie existence se résume à la lecture et l’analyse de ces textes sacrés. Un poème est beau même dans l’obscénité, musical même dans le mutisme et noble même dans la vulgarité. Mais vous, mes incultes frères, vous ne connaissez pas tout de cet illustre art ! Oui, combien de poésie en prose avez vous lu ? Quelle rédemption espérer sans s’être confronté une fois à cet art majestueux ? J’ai perdu mon innocence mais mon âme est maintenant hardie. Préparez vous pauvre mortel à lire, même dirais-je, à être envoûté par cette anthologie personnelle qui vous mènera jusqu’au fin fond de la connaissance poétique. Je me suis appuyé sur de grands seigneurs poétiques pour vous faire découvrir en quoi les mots, tournés de manières imagés, vous feront chavirer aux portes de l’olympe.

I. : La Poésie Amoureuse.

Mes fils de lecture, je vous connais comme les ténèbres connaissent l’enfer. Oui, je sais, infertiles que vous êtes, n’aimez que les poésies amoureuses ! Plus d’un d’entre vous ne connait que ce genre de poésie, normale de détester ou d’aimer ce genre- ci ! Alors bonhomme comme je suis, ai décidé de vous éviter de paraitre inculte en commençant par ce que vous connaissez. A travers mon innombrable recherche des recueils poétiques d’auteurs aimés et adulés par nombres de femmes, je puisse tirer quelques vers et une poésie en prose:

De mon cher idole : Victor HUGO

Au bois

Nous étions, elle et moi, dans cet avril charmant
De