Lecture analytique le malade imaginaire, acte iii scène 3
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Etude linéaire : Le Malade Imaginaire, Acte III Scène 3D’Argan : « Mais enfin venons-en au fait » à Béralde : « De les avoir crues ».Intérêt du texte : débat qui porte sur la médecineDécoupage :· 1er mouvement : du début à « certaines choses » : Un débat dans l’incompréhension· 2e mouvement : jusqu’à la fin : L’argumentation de Béralde, la dénonciation du « roman de la médecine ».1e : Un débat dans l’incompréhensionArgan : relance le débat· C’est une question essentielle pour lui : la médecine, se faire soigner, mais c’est aussi une question pragmatique pour lui : « que faire ? » (Derrière cela, une question philosophique est posée par Molière« Mon frère » : un mélange de courtoisie et de fausse politesse.Béralde : « rien » : effet comique : semble un paradoxe· Début de la formulation de la thèse de Béralde. Il va développer son propos : suite d’aphorismes.
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Il insiste sur le « rien ».« Il faut demeurer en repos » : simplicité de ce qu’il faut faire« La nature… tombée » : procédés qui insistent sur l’action automatique de la nature : « d’elle-même, se tire (V pronominal), la laissons faire ».· V au présent : semble une vérité générale « Meurent de leurs remèdes » : effet comique (paradoxe : « et non pas… »)Pour Béralde, c’est donc l’Homme qui est responsable et qui ne sait pas être calme en laissant faire la nature.Argan : « mais » : opposition, contre-argument« Il faut demeurer d’accord »· « Il faut » : impératif, pas d’entente possible entre euxCCL 1 : · C’est un débat· Certaine courtoisie· 2 points de vue inconciliables (ex : « rien » VS « de certaines choses »)2e mouvement : L’argumentation de Béralde, la dénonciation du « roman de la médecine »« Mon Dieu