Lecture linéaire de la bruyère 74 p 123 p 123
L’impudeur est aussi soulignée ici : “se montrer assez”. Le moraliste dénonce l'artifice du maquillage qui est loin de mettre en valeur les femmes. Il stipule également que la perruque : “cheveux étrangers” qui fait partie du champ lexical du maquillage, dénature la physionomie de l’homme. Les courtisans se maquillent au point qu’on ne peut les reconnaître : “qu’on ne connaisse les hommes” avec le champ lexical de la reconnaissance. La Bruyère procède donc dans ce mouvement à une critique intransigeante et critique ainsi l'hypocrisie de la cour avec leurs apparences trompeuses. 3eme mouvement : Enfin, l’auteur fait une