les astrophysiciens et l'observation de l'univers
En effet, certaines particules stellaires ne sont pas observables par l’œil humain. Dans ce cas, elles n’émettent pas de lumière dans le domaine du visible allant de 400 à 800 nm, mais à des longueurs d’ondes inférieurs ou supérieur à ce domaine. Pour observer tous les corps céleste et les situés dans l’Univers, il faut donc observer le ciel sur toute la gamme du spectre électromagnétique. Par exemple, les supernovas observables sur le domaine des ondes radio.
L’utilisation du spectre électromagnétique permet aussi de connaitre la température d’un corps céleste. Pour cela il faut trouver l’intensité lumineuse maximum λmax (en nm) de ce corps. Et, comme à chaque intensité lumineuse maximum correspond une température, on peut ainsi connaitre celle du corps céleste observé. Mais l’intensité lumineuse majoritairement émise par ce corps se situe parfois dans un domaine d’onde invisible à l’œil nu. Il faut alors observer ce corps sur plusieurs types d’ondes pour trouver λmax. Par exemple, un corps humain n’émet pas de lumière dans le domaine du visible, mais en émet dans le domaine des infrarouges.
De plus aujourd’hui, grâce aux satellites d’observation, l’on peut observer l’univers sur tout le spectre électromagnétique, car aucune longueur d’ondes n’est ainsi absorbée par l’atmosphère terrestre.
Pour conclure, les astrophysiciens sont désormais capables d’observer l’univers dans tous les domaines des ondes, du microscopique au macroscopique. Le problème de l’observation spatial est qu’elle est altéré par la notion d’espace temps, on observe aujourd’hui des événements spatiaux datant de plusieurs milliards d’années et d’années lumière.